Le Monde des LITTÉRATURES
Comment s’exerçait la censure au Moyen Âge ?
Quelle est l’origine des contes de Perrault ?
De quand date le premier système d’écriture chinois ?
Quel rôle ont joué les cours princières et les salons littéraires dans la création des œuvres ?
Qu’est-ce que l’inspiration poétique pour Homère et pour Platon ?
- 24,5 cm x 29,5 cm
- 750 pages
- 120 auteurs
- 205 articles
- 660 photographies
- Glossaire
- Bibliographie, Index
Facile d’accès grâce à un sommaire clairs et détaillé, LE MONDE DES LITTÉRATURES regroupe en fin de volume :
- une table des auteurs,
- une bibliographie sélective qui aide le lecteur à aller plus loin dans l’étude de tel ou tel sujet,
- un glossaire qui donne le sens des termes clés, et enfin,
- un Index qui ouvre la recherche sur tous les modes de consultation possibles, permettant ainsi à chacun de construire, en fonction de ses besoins, son propre parcours de lecture.
Un voyage initiatique en mots et en images, de l’Antiquité à nos jours, décliné en six étapes majeures :
Les différents horizons de ce monde d’hier et d’aujourd’hui minutieusement explorés et décrits en 136 chapitres de 564 pages, rythmées par 472 photographies, cartes, dessins et tableaux : l’œuvre poétique, formes et techniques de la parole en Afrique, l’alphabet grec et la Cité, l’enfance et le texte, la littérature arabe médiévale, la Bible et ses lecteurs après la Réforme, les bibliothèques numériques…
Depuis les briques d’argile gravées des Sumériens jusqu’à l’écran de nos ordinateurs en passant par les conteurs africains et les comédiens du théâtre Nô, un monde auquel on accède par de multiples portes : celles des auteurs ou des écrivains, celle aussi des éditeurs, des libraires et des bibliothécaires, celles encore des critiques littéraires ainsi que celles… des lecteurs sans lesquels aucune littérature n’existerait.
Conter, écrire, transmettre, mémoriser : de l’Antiquité à nos jours, de l’Orient à l’Occident, l’expérience littéraire traverse toutes les civilisations, avant même l’invention de l’écriture. L’ère de la communication généralisée n’y change rien.
La littérature demeure plus que jamais cette parole en surcroît, tantôt violente, tantôt discrète, toujours irréductible.