Comment interpréter les signes peints sur les parois des abris préhistoriques ?
Pourquoi les maîtres japonais de la cérémonie du thé utilisaient-ils, au XVI e siècle, des bols coréens ?
Qu’est-ce que Le Corbusier appelait des « canons à lumière » ? Quelle est l’origine de la mosaïque ?
Quelles œuvres Stendhal pouvait-il admirer dans les salles du musée Napoléon ?
- 24,5 cm x 29,5 cm
- 750 pages
- 120 auteurs
- 205 articles
- 660 photographies
- Glossaire
- Bibliographie, Index
Facile d’accès grâce à un sommaire clairs et détaillé, LE MONDE DE L’ART regroupe en fin de volume :
- une table des auteurs,
- une bibliographie sélective qui aide le lecteur à aller plus loin dans l’étude de tel ou tel sujet,
- un glossaire qui donne le sens des termes clés, et enfin,
- un Index qui ouvre la recherche sur tous les modes de consultation possibles, permettant ainsi à chacun de construire, en fonction de ses besoins, son propre parcours de lecture.
Une synthèse unique de l’histoire universelle des arts structurée en 14 parties :
L’ouverture la plus large
Les sujets qui vous captivent sont mis en lumière de façon inédite. Parce qu’il adopte une approche géographique des arts visuels, Le Monde de l’Art offre la possibilité de comprendre la création artistique, d’en suivre les cheminements, les retours et les enchevêtrements les plus complexes. Les œuvres sont replacées dans leur environnement politique, économique et social, et retrouvent pleinement leurs racines. L’activité artistique reprend ainsi sa place, toute sa place, dans l’histoire des sociétés et des cultures.
Une iconographie pertinente
De par son parti pris, proprement encyclopédique, d’universalité, Le Monde de l’Art n’oublie rien de ce qui compte réellement, quels que soient le lieu ou l’époque. Il s’ouvre en effet à toutes les formes d’art, dans tous les pays, dans tous les temps. Il s’intéresse aussi bien à l’art des Bochimans qu’à celui des Étrusques, aux grands empires mésopotamiens qu’aux Inuit du Keewatin, à la Polynésie qu’à Florence, aux oasis protohistoriques de l’Asie centrale qu’à la «migration» de l’art moderne de Paris vers New York. Il prête une égale attention à l’architecture et à l’orfèvrerie, à la fresque et au tissage, à la mosaïque et aux masques, aux enluminures et à la photographie, aux «vedute» et aux «readymade».
Qu’il s’agisse d’œuvres jusqu’ici peu connues, voire inconnues, ou de créations déjà répertoriées, Le Monde de l’Art propose des reproductions presque toujours inédites, commandées aux meilleures sources.
Ces reproductions en couleurs s’accompagnent de cartes entièrement nouvelles (une centaine au total) qui font apparaître d’une manière dynamique les liens entre les faits artistiques, les lieux où ils se sont produits et ceux dans lesquels ils se sont diffusés.
L’équipe de 140 auteurs comprend des universitaires et des chercheurs de réputation mondiale (universités de Rome, d’Athènes, d’Oxford, Harvard, de Saint-Pétersbourg, de Berlin, de Paris, de Lyon, d’Aix-en-Provence, de Bruxelles, de Lausanne, etc. ; C.N.R.S., Institut national des langues et civilisations orientales, École des hautes études en sciences sociales, Collège de France, etc.), des directeurs ou conservateurs de musée, des conservateurs du patrimoine, des membres de l’Institut.